
Poltergay
Il fallait le faire, il l'a fait ! Le réalisateur Eric Lavaine, dont c'est son premier long, nous convie à un film gag mélangeant sans aucunes retenues « La cage aux folles » et les films de maisons hantées.
Spectacle sympathique et rigolo, Poltergay se la joue assez fin niveau scénario sans sombrer dans la comédie franchouillarde et lourde. On a même droit à quelques séquences émotions qui apportent un plus à cette histoire qui mélange habilement les genres.
Si beaucoup de clichés et de caricatures excessives sont présentes, l'histoire déroule son bonhomme de chemin à l'allure d'un film à l'américaine au rythme de la musique des Bonney M sans jamais sombrer dans le somnolant.
Une Julie Depardieu authentique, un Clovis Cournillac qui assume son rôle sans excès, un hilarant Michel Duchaussoy en exorciste fan de Mc Do et des effets spéciaux pas tape à l'il mais efficaces complètent cette comédie à déguster sans arrières pensées et légèreté avec en prime une apparition surprise à la toute fin.
aIl fallait le faire, il l'a fait ! Le réalisateur Eric Lavaine, dont c'est son premier long, nous convie à un film gag mélangeant sans aucunes retenues « La cage aux folles » et les films de maisons hantées.
Spectacle sympathique et rigolo, Poltergay se la joue assez fin niveau scénario sans sombrer dans la comédie franchouillarde et lourde. On a même droit à quelques séquences émotions qui apportent un plus à cette histoire qui mélange habilement les genres.
Si beaucoup de clichés et de caricatures excessives sont présentes, l'histoire déroule son bonhomme de chemin à l'allure d'un film à l'américaine au rythme de la musique des Bonney M sans jamais sombrer dans le somnolant.
Une Julie Depardieu authentique, un Clovis Cournillac qui assume son rôle sans excès, un hilarant Michel Duchaussoy en exorciste fan de Mc Do et des effets spéciaux pas tape à l'il mais efficaces complètent cette comédie à déguster sans arrières pensées et légèreté avec en prime une apparition surprise à la toute fin.