Pieces of a Woman
Le septième long métrage du cinéaste hongrois Kornél Mundruczó est une magnifique ode à la vie qui transcende ses vicissitudes les plus mortifères.
Le septième long métrage du cinéaste hongrois Kornél Mundruczó est une magnifique ode à la vie qui transcende ses vicissitudes les plus mortifères.
Devenu l’apanage du sentimentalisme le plus sirupeux, la science-fiction moderne s’alourdit encore d’un film défaitiste sans grand intérêt.
Un film post-apocalyptique qui ne révolutionne pas le genre, mais qui s'impose par son remarquable équilibre entre drame personnel et enjeu collectif.
Jouet cinéphilique pour cinéphiles, "Mank" se perd entre critique grossière de l’industrie du cinéma et hommage révérencieux à ceux qui l’ont fait et le font encore.
Prenant le pouls de l’air du temps peu reluisant de notre époque surmédiatisée délétère, la mini-série "Bâtards" reste en surface tout en abordant quelques sujets pertinents.
Avec sa septième réalisation, Albert Dupontel signe son meilleur film, et parvient à saisir avec une rare acuité l'oppression et la déliquescence de la société contemporaine. Chef-d'oeuvre.
Le cinéaste allemand Christian Petzold revisite intelligemment, dans son nouveau long métrage, la légende d’Ondine. Une œuvre d’une justesse et d’une délicatesse qui forcent le respect, mais qui, par ailleurs, verse malheureusement dans une certaine fadeur.
Passablement encensée par une critique qui se satisfait de peu, cette production Netflix réalisée par Antonio Campos comporte pas mal des défauts souvent inhérents à la plateforme de streaming du milliardaire tellement peu cinéphile.
Antonio Campos propose une plongée en apnée dans les mécanismes de la contamination par le mal.
Co-production suisse indépendante basée dans le canton de Fribourg, la série fait mouche et déjà de grandes chaines de tv internationales sont intéressées à acheter les droits.